Livre de Raynal Pellicier, Titwane, édité par la Martinière, publié en 2017.
Mots clés : Justice-Délinquance, Brigade de protection des mineurs, Prostitution, Mineur, Immigré, Maltraitance, Proxénétisme, Inceste, Abus sexuel, Bébé secoué, Trafic d'être humain, Adolescent, Internet, Pédophilie, Pornographie, Technologie de l'information et de la communication, Immigration, Clandestinité, Cybercriminalité, Réseau social, Nigeria
Raynal Pellicer est réalisateur pour la télévision de documentaires, magazines, programmes courts et courts-métrages. Il est également l'auteur de plusieurs livres aux éditions de La Martinière : Brigade criminelle. Immersion au cur du 36, quai des Orfèvres (2015), Enquêtes générales, immersion au cur de la Brigade de répression du banditisme (2013), Version originale, la photographie de presse retouchée (2013) un livre photo qui fit l'objet d'une grande exposition aux Rencontres d'Arles ; Photomatons (2011) et Présumés coupables (2008).
Titwane est illustrateur, notamment, pour la presse et l'édition. Coauteur de Brigade criminelle. Immersion au cur du 36, quai des Orfèvres (Editions de La Martinière, 2015) et d'Enquêtes générales, immersion au cur de la Brigade de répression du banditisme (Editions de La Martinière, 2013), il collabore à la Revue dessinée et a illustré plusieurs ouvrages aux Editions Plume de carotte ainsi que des séries de romans pour Bayard ou Albin Michel jeunesse.
Livre de Maurice Berger, édité par Dunod, publié en 2016.
Mots clés : Justice-Délinquance, Violence, Concept, Typologie, Violence conjugale, Traumatisme, Carence familiale, Maltraitance, Émotion, Empathie, Pulsion, Environnement social, Sadisme, Parentalité, Perversion, Responsabilité, Jeu, Prévention, Attachement, Sécurité, Affectivité, Justice, Sévice corporel, Éducation, Intégrisme, Immigration, Quartier, Banlieue, Groupe d'appartenance, Identité, Religion, Radicalisation, Terrorisme, Écoute, Relation, Protection de l'enfance, École, Famille, Société
Notre société compte de plus en plus d'enfants, d'adolescents, et d'adultes capables des pires violences. Enseignants, éducateurs, policiers, le disent avec inquiétude : les comportements violents sont plus fréquents, plus graves et plus précoces qu'autrefois, que ce soit en crèche, en maternelle, au collège, au lycée ou dans la rue. De fait, le passage à l'acte, de l'incivilité à la « radicalisation », trouve le plus souvent son origine dans la petite enfance. Comment comprendre la violence, et répondre aux légitimes questions que, victimes du « politiquement correct », nous osons à peine nous poser ? Démarche d'autant plus urgente, qu'il ne s'agit plus désormais d'excuser qui que ce soit, mais bien de prévenir la survenue d'une situation sociale incontrôlable.