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PRISME travaille à la réalisation de deux bases de données bibliographiques : La première, Sciences et Action Sociales, constitue la base mutualisée du réseau. La deuxième, Thesis, est dédiée à la sélection et à l'indexation de thèses en travail social. Elle est le fruit d'un partenariat avec le CNAM-CDFT.

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La dysphorie de genre : à quoi se tenir pour ne pas glisser ?

Livre de Charles Melman, Jean Pierre Lebrun, édité par Erès, publié en 2022.

Mots clés : Accompagnement de la personne et identité, Genre, Identité, TRANSSEXUALISME, Représentation sociale, Enfant

On parle de nos jours de plus en plus souvent de jeunes - adolescents voire enfants - qui ont le sentiment d’une inadéquation entre leur sexe de naissance et leur ressenti, leur genre. Ceci est alors présenté comme une souffrance qui pourrait - et même devrait - être évitée grâce aux hormones voire à la chirurgie. Rien de plus évident apparemment aujourd’hui que d’avoir le droit de choisir son genre sans se soucier de sa réalité anatomique ! Mais est-ce vraiment aider l’enfant ou l’adolescent que de lui offrir de régler ainsi sa question et de dénier une réalité qu’il ne pourra d’aucune façon changer ? Ne sommes-nous pas là devant l'extension d’une conception de la liberté qu’aucune limite ne devrait restreindre ?

Récits et résilience : quels liens ? Chemins de vie

Livre de Martine Lani Bayle, Aneta Slowik, Boris Cyrulnik, Gaston Pineau, édité par L'Harmattan, publié en 2016.

Mots clés : Accompagnement de la personne et identité, Récit de vie, Résilience, Interaction, Rôle, Évaluation, Émancipation, Enfermement, Mémoire, Langage, Créativité, Écriture, Distance, Projet de vie, Identité, Dessin, Éducation, Formation, Enfant, Adulte

La mise en récit de sa vie se démocratise aujourd'hui de plus en plus avec de nombreuses attentes. Car, si la narration est maintenant parée de toutes les vertus, si nous constatons bien que le récit peut être travaillé avec des attentes thérapeutiques ou cathartiques voire formatives, peut-il être considéré « en soi » comme facteur de résilience, ou permet-il d'en révéler, après coup, l'éventualité ? Est-il porteur d'émancipation possible de ce qui a été subi, ou au contraire enfermement de sa vie dans des mots qui fixeront les traumatismes en un présent sans fin ?