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PRISME travaille à la réalisation de deux bases de données bibliographiques : La première, Sciences et Action Sociales, constitue la base mutualisée du réseau. La deuxième, Thesis, est dédiée à la sélection et à l'indexation de thèses en travail social. Elle est le fruit d'un partenariat avec le CNAM-CDFT.

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Mon abrégé de psychanalyse

Livre de Claude Nachin, édité par L'Harmattan, publié en 2018.

Mots clés : Courants de pensée en sciences humaines, Psychanalyse, Concept, Théorie, Cure analytique, Méthode, Contrat, Transfert, Psychisme, Contre-transfert, Névrose, Hystérie, Phobie, Psychopathologie, Adolescent, Psychose, Symbolique, Affectivité, Anxiété, Amour, Haine, Jalousie, Culpabilité, Fantasme, Langage, Culture, Philosophie, Phénoménologie, Littérature, Art, Cinéma, Télévision, Bande dessinée, Vie quotidienne, Freud (Sigmund)

Cet abrégé de psychanalyse essaie de prendre en compte les développements de la psychanalyse au cours du siècle. Cet ouvrage étudie la méthode psychanalytique et ses résultats dans la cure des patients, la théorie générale de la psychanalyse, et enfin son rôle dans la médecine et dans la culture (psychiatrie, philosophie, littérature, arts).

La lumière noire du suicide

Livre de Hélène GENET, Didier MARTZ, édité par Erès, publié en 2012.

Mots clés : Suicide, Personne âgée, Vieillissement, Philosophie, Désir, Liberté, Peur, Anxiété, Tabou, Morale, Religion, Transgression, Culpabilité, Droit, Responsabilité

"Loin des interprétations hâtives, dictées par la culpabilité ou la peur, les auteurs réactivent ici la complexité de cet acte radical et sidérant qu'est le suicide, ses liens intimes avec la question de la liberté humaine, sa profonde subversivité, à tous les âges de la vie et notamment quand il concerne les personnes âgées.S'il n'y a pas d'âge pour mourir, on meurt à tout âge ; il n'y a pas non plus d'âge pour se suicider. Le suicide des plus âgés de nos concitoyens n'est en soi pas moins terrible que celui des jeunes, même s'il nous révolte moins. Le suicide, cet acte qui condense nos peurs et notre liberté, résiste à nos tentatives d'interprétation ; il reste éminemment énigmatique, insaisissable et finalement humain. Dans un dialogue ouvert, les auteurs mettent au travail la difficile question du sens de cet acte radical.Hélène Genet est professeur agrégé de lettres, enseignante et poète.Didier Martz est philosophe, professeur, ancien directeur de cabinet du recteur de l'Académie de Reims, conférencier, animateur de cafés et goûters philo, chroniqueur radio."

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La communication lors de la maladie d'Alzheimer et des troubles apparentés : parler, comprendre, distraire, stimuler

Livre de Mitra Khosravi, édité par Doin, publié en 2011.

Mots clés : Maladie d'Alzheimer, Démence sénile, Symptôme, Malade, Communication, Identité, Intelligence, Émotion, Isolement, Culpabilité, Aidant familial, Soin, Prise en charge, Anxiété, Trouble du comportement, Relation soignant-soigné, Pratique professionnelle, Langage, Écoute, Observation, Empathie, Communication non-verbale, Famille, Médecin, Soins à domicile, Aide à domicile, Établissement pour personnes âgées, Dossier médical, Transmission, Animation, Stimulation

De la honte à la culpabilité : à partir des échanges dialogués autour de honte, culpabilité, angoisse

Livre de Jean Richard Freymann, Daniel Lemler, Guy Chouraqui, et al., édité par Erès, publié en 2010.

Mots clés : Honte, Culpabilité, Anxiété, Émotion, Perception, Biographie, Psychanalyse, Théorie, Relation, Désir, Discours, Complexe d'Œdipe, Complexe de castration, Pudeur, Phobie, Institution, Censure, Conscience, Morale, Éthique, Identification, Loi, Libido, Symptôme

"J'ai la honte ", " Arrête de me culpabiliser ", "Ça me donne de l'angoisse " : comment saisir la genèse de ces affects partagés par le tout-venant et les interroger à partir de la psychanalyse ? C'est l'ambition de ce nouveau séminaire où Jean-Richard Freymann a choisi d'adopter la méthodologie de travail proposée par Lucien Israël, " les échanges dialogués ". Les auteurs proposent ici un certain nombre de déploiements de la question de la honte, de théorisations et de différenciations de la place de la honte qui paraît tributaire avant tout de la relation à l'autre. La honte se dessine comme une structure liée au désir de l'Autre et aux effets du discours de l'Autre, la culpabilité ouvrant sur le complexe d'Oedipe dans ses rapports à la castration. Quant à l'angoisse, qui est un moteur du désir et notamment du désir de l'analyste, elle apparaît comme une zone de transition entre désir et jouissance. En filigrane, c'est l'éthique de la psychanalyse, située du côté du désir et non de la culpabilité, qui se trouve ici questionnée. Jean-Richard Freymann est écrivain, psychanalyste, psychiatre, directeur scientifique des éditions Arcanes. Il est aussi président de la FEDEPSY (Fédération européenne de psychanalyse et Ecole psychanalytique de Strasbourg)."

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Clinique du suicide

Livre de Geneviève Morel, Brigitte Lemonnier, Carine Decool, édité par Erès, publié en 2010.

Mots clés : Suicide, Psychanalyse, Approche clinique, Passage à l'acte, Cure analytique, Parole, Séparation, Pulsion de mort, Symptôme, Névrose, Psychose, Risque, Prévention, Jouissance, Répétition, Identification, Objet transitionnel, Amour, Anxiété, Corps, Crise, Culpabilité, Désir, Deuil, Écriture, Fantasme, Imaginaire, Inconscient, Loi, Mélancolie, Littérature, Philosophie, Anthropologie

Pourquoi un être humain se donne-t-il la mort ? Dès sa parution, Clinique du suicide s'est imposé comme une contribution essentielle à l'étude de cette question énigmatique qui convoque ici psychanalystes, philosophes, critiques littéraires et anthropologues.
Si le cadre de ces essais est psychanalytique, leur portée est incontestablement plus large. Les "épidémies" de suicide qui ont attiré l'attention du public ces dernières années - chez France Télécom en Europe, chez Toyota et d'autres entreprises en Asie - témoignent de ce changement radical de la vie moderne. L'individu en est réduit à n'être, sur le marché, qu'un agent de la compétition pour l'obtention de biens et de services. Les aspects de sa subjectivité qui ne peuvent devenir les acteurs d'aucune de ces opérations dites de "ressources humaines" font retour dans le réel sous la forme de suicides comme effets de la conception libérale moderne de la vie humaine. L'ironie de l'affaire est que, plus le suicide devient la chose à éviter à tout prix, plus régresse la compréhension réelle du suicide. Le manque à savoir du sujet sur sa tentative de suicide rencontre celui des discours ambiants. Or, aider le sujet à élaborer ce savoir est un enjeu crucial, non seulement pour réduire les risques d'une récidive, mais aussi pour qu'il devienne le sujet de son expérience et établisse les bases d'un travail sur son histoire, en fait, sur la question de vivre elle-même.

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