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PRISME travaille à la réalisation de deux bases de données bibliographiques : La première, Sciences et Action Sociales, constitue la base mutualisée du réseau. La deuxième, Thesis, est dédiée à la sélection et à l'indexation de thèses en travail social. Elle est le fruit d'un partenariat avec le CNAM-CDFT.

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Violences conjugales. Le droit d'être protégée

Livre de Ernestine Ronai, Edouard Durand, édité par Dunod, publié en 2018.

Mots clés : Enfance-Famille, Violence conjugale, Femme, Enfant, Traumatisme, Accompagnement, Victime, Relation femme-homme, Pratique professionnelle, Entretien, Hébergement, Soin, Prise en charge, Immigration, Errance, Protection juridique, Sanction pénale, Homme, Violence, Prévention, Juge aux affaires familiales, Protection de l'enfance, Couple, Parentalité, Signalement, Crèche, Accueil

Chaque année 223 000 femmes sont victimes de violences conjugales. Environ 84 000 sont victimes de viol ou tentative de viol. Une femme meurt tous les 3 jours victimes de son conjoint (compagnon ou ex). En moyenne, le 39 19, ligne d'appel national pour femmes victimes de violences, reçoit 50 000 appels par an. Pour mieux protéger les femmes et les enfants victimes de violences, le 5e plan interministériel (2014-2016) a à la fois consolidé les dispositifs déjà existants et instauré de nouvelles mesures.
Il reste cependant beaucoup à faire pour éradiquer ce fléau, et notamment faire connaître, promouvoir et mettre en œuvre le droit d'être protégée.

Les pratiques en maison d'hébergement pour femmes victimes de violence conjugale : 40 ans d'histoire

Livre de Isabelle Côté, édité par Presses universitaires du Québec, publié en 2018.

Mots clés : Enfance-Famille, Violence conjugale, Accueil, Hébergement, Accompagnement, Approche historique, Enfant, Femme, Sécurité, Prise en charge, Dignité, Autonomie, Liberté, Québec (Province du), 1970-2010

C’est au milieu des années 1970 que des Québécoises, décidées à sortir le phénomène de la sphère privée, ont mis sur pied les premières maisons d’hébergement pour femmes victimes de violence conjugale. Levant le voile sur la violence des hommes à l’endroit des femmes dans les couples, problème longtemps compris comme étant d’ordre familial, elles ont développé des ressources permettant d’accueillir celles qui désiraient se soustraire à l’emprise de leur agresseur. Les maisons d’hébergement se sont ainsi imposées comme l’une des plus importantes réponses du mouvement féministe à cette problématique, au Québec et ailleurs.