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PRISME travaille à la réalisation de deux bases de données bibliographiques : La première, Sciences et Action Sociales, constitue la base mutualisée du réseau. La deuxième, Thesis, est dédiée à la sélection et à l'indexation de thèses en travail social. Elle est le fruit d'un partenariat avec le CNAM-CDFT.

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Psychologie du Travail et des Organisations : 110 notions clés

Livre de Gérard Vallery, Marc Eric Bobillier Chaumon, édité par Dunod, publié en 2019.

Mots clés : Travail-Emploi, Psychologie du travail, Organisation, Relation professionnelle, Risques psychosociaux, Cadre

Dans un contexte de transformations rapides des situations professionnelles, les connaissances en Psychologie du Travail et des Organisations (PTO) sont à la fois diversifiées et dispersées.
Cette 2ème édition, complétée et actualisée, recense les principales notions de la discipline et les définit précisément dans un but d'initiation et d'approfondissement.
110 grandes notions explicitées : autorité, encadrement, évaluation du personnel, leadership, organisation, orientation, pénibilité, recrutement, santé au travail, stress, travail, usure professionnelle, etc.
Chaque notion comporte : une définition, des illustrations (exemple, application, tableau, schéma) et une petite bibliographie de 3 à 5 références.

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La violence ordinaire dans les organisations : plaidoyer pour des organisations réflexives

Livre de Gilles Herreros, édité par Erès, publié en 2012.

Mots clés : Souffrance, Travail, Organisation, Sociologie, Approche clinique, Hôpital, Lycée, Fonction publique, Bureaucratie, Management, Conditions de travail, Analyse critique, Relation interpersonnelle, Relation professionnelle, Salarié, Cadre, Entreprise, Violence institutionnelle

La violence ordinaire perpétrée au quotidien dans les organisations est au centre de cet ouvrage. La percevoir pour s'y opposer, telles sont les orientations proposées. En appui sur des récits mettant en scène des situations de travail banales, analogues à celles que chacun peut avoir vécu, l'auteur montre comment la violence se tisse quotidiennement. Pour se perpétrer, comme pour se perpétuer, la violence a besoin de l'indifférence, voire de l'acceptation du plus grand nombre. Les récits proposés montrent comment les petits renoncements, les cécités multipliées, les questionnements liquidés, chaque jour répétés par les uns, fabriquent des mécaniques qui détruisent les autres. Il n'y a aucune fatalité à ce phénomène. L'auteur plaide pour la mise en place d'organisations « réflexives » valorisant une appréhension clinique des procès de travail et le déploiement d'une critique réhabilitant la subjectivité et l'intersubjectivité.

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