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PRISME travaille à la réalisation de deux bases de données bibliographiques : La première, Sciences et Action Sociales, constitue la base mutualisée du réseau. La deuxième, Thesis, est dédiée à la sélection et à l'indexation de thèses en travail social. Elle est le fruit d'un partenariat avec le CNAM-CDFT.

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La tentation radicale : enquête auprès des lycéens

Livre de Olivier Galland, Anne Muxel, édité par Presses universitaires de France, publié en 2018.

Mots clés : Justice-Délinquance, Radicalisation, Jeune, Violence, Passage à l'acte, Terrorisme, Frustration, Discrimination, Politique, Religion, Lycéen

L’idée d’une montée de la radicalité au sein de la jeunesse française, avec pour corollaire une certaine banalisation de la violence, mérite d’être examinée, même si les passages à l’acte violent ne concernent qu’une petite minorité assez bien étudiée et identifiée. On ne sait en revanche que peu de choses sur le degré d’acceptabilité de la violence aux yeux du plus grand nombre. Quels sont les segments de la jeunesse les plus concernés par la radicalité ? Peut-on observer un lien entre la radicalité politique et la radicalité religieuse ? Comment les jeunes réagissent-ils aux attentats et au terrorisme ? Pour répondre à ces questions, les contributeurs de cet ouvrage, tous spécialistes reconnus dans le champ de la sociologie de la jeunesse, analysent les résultats d’une enquête inédite menée auprès de 7 000 lycéens de toutes origines sociales et culturelles, et de toutes confessions religieuses.

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Rapport sur l'homophobie 2012

Livre, édité par Sos homophobie, publié en 2012.

Mots clés : Homosexualité, Bisexualité, TRANSSEXUALISME, Discrimination, Rapport, Témoignage, Vie quotidienne, Violence, Agression, École, Famille, Internet, Média, Vie politique, Religion, Santé, Sport, Travail, Voisinage, Justice, Droit, Loi

Homophobie : un nouveau record est à enregistrer en 2011 : le cap des 1 500 témoignages est atteint et dépassé. Si Internet reste en tête des contextes dans lesquels les actes de lesbophobie, gayphobie, biphobie ou transphobie (LGBTphobie) portés à notre connaissance sont commis, cette année marque aussi le retour du contexte « travail » à la deuxième place de ce triste classement, au côté du contexte « famille-entourage proche », immédiatement suivi par le contexte « voisinage ». Ainsi, plus d'un témoignage sur trois fait état d'une parole, d'une violence ou encore d'une discrimination LGBTphobe subie dans le cadre de la vie quotidienne de la victime...

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