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PRISME travaille à la réalisation de deux bases de données bibliographiques : La première, Sciences et Action Sociales, constitue la base mutualisée du réseau. La deuxième, Thesis, est dédiée à la sélection et à l'indexation de thèses en travail social. Elle est le fruit d'un partenariat avec le CNAM-CDFT.

Réponses 1 à 10 sur un total de 13

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Les invisibles

Film de Louis-Julien Petit, 2019.

Mots clés : Femme, Précarité, SDF, Accueil de jour, Relation travailleur social-usager, Solidarité, Travailleur social, Réinsertion professionnelle, Paris

Suite à une décision municipale, l’Envol, centre d’accueil pour femmes SDF, va fermer. Il ne reste plus que trois mois aux travailleuses sociales pour réinsérer coûte que coûte les femmes dont elles s’occupent : falsifications, pistons, mensonges… Désormais, tout est permis !
En complément : making of, scènes coupées.
[Extr. jaquette]

Entre les rives : accords de communauté

Film de Laurent Ménochet, 2018.

Mots clés : Territoire-Logement, Lien social-Précarité, DSL, Milieu urbain, Association, Bénévolat, Implication personnelle, Communauté, Partenariat, Solidarité, Travail social de communauté, Quartier, Démocratie participative, Réseau, Travailleur social, Politique de la ville, Italie

A Parme, ville de la région Emilie-Romagne en Italie, des acteurs sociaux s'engagent auprès et avec les citoyens pour favoriser leur implication dans des projets communautaires. Des laboratoires familiaux et des points de communauté fleurissent dans les quartiers de la ville. Que sont-ils ? De quelles dynamiques sont-ils le fruit ? Ce film documentaire rend compte de ces actions.

Entre les rives : accords de communauté

Murs de papiers

Film de Olivier Cousin, 2018.

Mots clés : Immigration-Interculturalité, Étranger, Clandestinité, Réfugié, Aide juridictionnelle, Assistance, Association, Solidarité, Intégration, Travail, Immigration, Témoignage, Droit d'asile, Titre de séjour, CIMADE, Paris

Suivant le quotidien d'une permanence de la Cimade (à l'origine acronyme pour Comité inter-mouvements auprès des évacués), Olivier Cousin filme sans artifice et capte au plus près les émotions des personnes étrangères sans papiers souhaitant une assistance juridique afin de régulariser leur situation. Face aux difficultés (précarité extrême, vie dans l'illégalité, déclassement, exploitation par des employeurs peu scrupuleux), le lieu se révèle un espace chaleureux de solidarité où les langues se délient. Là, toutes et tous aspirent, à travers l'obtention de titres de séjour, à accéder à un semblant de vie normale pour pouvoir, enfin, vivre dans la dignité.

Durant deux ans, Olivier Cousin a installé sa caméra dans les locaux de la permanence RCI/Cimade (Réseau Chrétiens-Immigrés) de Paris-Belleville, où lui-même a œuvré un temps comme bénévole. Dans cet espace clos, salariés et bénévoles écoutent, orientent, réconfortent, cherchant les meilleures stratégies pour que les demandes de celles et ceux qui sont parfois depuis de nombreuses années en France aboutissent. En révélant l'hypocrisie d'un système exploitant cette clandestinité, Murs de papiers rappelle que l'immigration, à travers la main d'œuvre bon marché qu'elle génère, n'est pas un coût mais un bénéfice, pour l’État comme pour les entreprises, "générant une contribution budgétaire nette positive de plusieurs milliards d'euros par an". Le durcissement des régularisations est d'autant plus absurde que, comme l'explique l'une des femmes œuvrant à la permanence, non seulement les migrations ne s'arrêteront pas, mais elles ne feront qu'augmenter. Cependant elle ajoute : "On n'est pas envahi et on ne le sera jamais !" (Caroline Châtelet). (Description éditeur)

Murs de papier

Au loin le point du jour

Film de Delphine ZIEGLER, 2017.

Mots clés : Immigration-Interculturalité, Droit d'asile, Exil, Femme, Immigré, Migration, Précarité, Récit de vie, Résilience, Traumatisme, Violence, Violence conjugale, Solidarité

Les violences liées à la condition d'être femme n'épargnent à ce jour aucune société. Qu'advient-il de ces femmes qui résistent ?
"Au loin le point du jour" suit quelques-unes de ces migrantes, accompagnées parfois de leurs enfants, qui décident de partir et d'en finir avec les menaces. Aux blessures de l'intime s'ajoutent l'épreuve de l'exil et la difficulté de survivre dans la précarité de leur situation administrative et matérielle.
Le soutien des associations qui les accompagnent et les liens de solidarité qui se tissent leur permettent néanmoins de retrouver la force de se reconstruire peu à peu et de s'engager sur le chemin de la résilience. (Source : 4ème de couverture)

Pourquoi nous détestent-ils ? Saison 1 & 2

Film de Juliette Arnaud, Alexandre Amiel, Amelle Chahbi, Sarah Carpentier, 2017.

Mots clés : Lien social-Précarité, Racisme, Discrimination, Homosexualité, Femme, Pauvreté, Représentation sociale, Religion, Solidarité

Pourquoi nous détestent-ils ? est une série de six documentaires, en 2 saisons.
Le mode de narration est inédit car il mêle un récit personnel, la fiction et une enquête journalistique approfondie sur la discrimination à l’égard des plus précaires.
Dans la saison 1, chaque épisode se concentre sur les relations qu’entretient la France avec trois tranches de sa population : les musulmans, les Juifs et les noirs.
Dans la saison 2, le thème porte sur les pauvres, les homosexuels et les femmes.

Ceux qui disent oui

Film de Marie FERRIER, Sylvie TEXIER, 2016.

Mots clés : Immigration-Interculturalité, Accompagnement, Accueil, Action sociale, Administration, Aide sociale, Association, Bénévolat, Centre d'accueil pour demandeurs d'asile, Droit d'asile, Immigré, Intégration, Militantisme, Motivation, Relation d'aide, Solidarité, Souffrance psychique

Suite à la création d’un Centre d’Accueil de Demandeurs d’Asile dans une petite commune rurale du Limousin, un élan de solidarités a vu le jour. Bénévoles et militants se sont mobilisés pour faire face à des situations humaines complexes, parfois dramatiques. Les suivre au fil des mois, dans leurs engagements, leurs convictions, leurs doutes et leur enthousiasme est l’occasion unique de révéler les enjeux d’une expérience solidaire en terre d’asile. (Source : 4ème de couverture)

Moi, Daniel Blake

Film de Ken LOACH, 2016.

Mots clés : Travail-Emploi, Emploi, Chômage, Précarité, Maladie de longue durée, Administration, Aide sociale, Mère célibataire, Mort, Solidarité, Grande-Bretagne

Pour la première fois de sa vie, Daniel Blake, un menuisier anglais de 59 ans, est contraint de faire appel à l’aide sociale à la suite de problèmes cardiaques. Mais bien que son médecin lui ait interdit de travailler, il se voit signifier l'obligation d'une recherche d'emploi sous peine de sanction. Au cours de ses rendez-vous réguliers au « job center », Daniel va croiser la route de Katie, mère célibataire de deux enfants qui a été contrainte d'accepter un logement à 450 km de sa ville natale pour ne pas être placée en foyer d’accueil. Pris tous deux dans les filets des aberrations administratives de la Grande-Bretagne d’aujourd’hui, Daniel et Katie vont tenter de s’entraider.

Allociné

L'approche communautaire en travail social

Film de Christoph Schutz, Marie-Claire Rey-Baeriswyl, Elena Scozzari, 2015.

Mots clés : Territoire-Logement, Travail social de communauté, Définition, DSL, Valeur, Participation, Échange, Solidarité, Association, Quartier, Formation, Coordination, Travailleur social, Bénévolat, Besoin, Intégration, Interculturel, Action collective, Émancipation, Réinsertion sociale, Culture, Suisse

Ce film présente des projets communautaires développés dans le canton de Fribourg en Suisse. Il est découpé en 5 chapitres. Il relate l'origine des projets, les acteurs qui s'y impliquent, les actions qui sont menées et les résultats obtenus. Il montre concrètement la faisabilité de la démarche communautaire en fonction de différentes réalités communales. Il est complété de bonus offrant de brefs entretiens avec des personnes-clés, d'un dossier pédagogique et de suggestions d'ateliers qui permettent de faire connaissance avec la logique d'action, les méthodes privilégiées favorisant l'implication des acteurs, les rôles professionnels, l'éthique spécifique de l'approche communautaire en travail social.

En complément : entretiens sur l'approche communautaire en travail social  sous l'angle professionnel, social et politique (14 min.)

Accès à la version en ligne, Bonus

J'demande pas la lune, juste quelques étoiles ...

Film de Robert COUDRAY, 2013.

Mots clés : Lien social-Précarité, SDF, Marginalité, Précarité, Alcoolisme, Famille, Rupture, Solidarité, Créativité, Sculpture, Théâtre

Fred est un ancien ingénieur tombé dans la galère des rues. Un jour, le regard d’une petite fille le réveille dans sa dignité d’homme et de père déchu. Il va quitter ses compagnons de squat et retrouver en Bretagne une vieille maison héritée de son grand-père. Mais la maison n’est qu’un tas d’éboulis au bord d’une carrière, paysage grandiose et isolé. Nouveau Robinson, Fred va reconstruire sa maison en partant de rien, ou presque, créer un univers ingénieux et autonome, et par-là même, se reconstruire, retrouver une vie sociale, renouer des liens. Son changement progressif entraînera à distance celui de sa compagne de misère, Nina, qu’il a laissée loin de lui, dans les rues. Quant au passé, qu’il a tout fait pour fuir, il le rattrapera de manière inattendue…

jedemandepaslalune.fr

Epicerie solidaire, des idées neuves

Film de Gilles TRINQUES, 2013.

Mots clés : Économie sociale et solidaire, Solidarité, Territoire, Usager, Précarité, Aide alimentaire, Besoin, Mixité sociale, Bénévolat, Accueil, Socialisation, Atelier, Cuisine, Lien social, Réinsertion sociale, Lieu de vie, Isolement, Citoyenneté, Méthodologie, Organisation, Assistant de service social, Coordination, Conseil général, DSL, Participation, Epicerie sociale, Bordeaux

A Bordeaux, un ensemble de professionnels de l'action sociale avec l'aide et l'impulsion d'institutions ont créé une épicerie sociale en rupture avec l'aide alimentaire classique. Les initiateurs du projet, coordinateurs, travailleurs sociaux, adhérents et bénévoles expliquent à travers le film comment la structure s'est créée et avec quels objectifs. Ils ont travaillé ensemble sur la nécessité du choix et de l'implication des usagers plutôt que sur la charité, la mixité sociale plutôt que l'’isolement. "Faire avec" plutôt que "faire pour". L'épicerie est ainsi devenu un lieu social, un lieu de convivialité non stigmatisant. A travers les produits proposés en vente et dans les ateliers on trouve aussi la recherche de la qualité alimentaire dans une démarche citoyenne et un souci de logique locale et partenariale. L'’enjeu du film est de donner la mesure d’une expérimentation concrète, où chacun, de l'’endroit où il est, peut construire ou se reconstruire et prendre sa place dans un projet collectif.