Pour la première fois dans l’histoire de l’humanité, quatre voire cinq générations viennent de s’engager ensemble dans le nouveau millénaire. Dans les institutions pour personnes âgées dépendantes, les équipes soignantes s’appuient sur les dernières découvertes en neurosciences pour forger une "prise en soin" plus respectueuse des personnes âgées, et leur permettre de finir leur vie dans des conditions plus humaines. Cela s’appelle l’humanitude. Ce film s’attache à suivre les progrès obtenus par cette méthode sur le bien-être des personnes âgées, et à montrer comment les neurosciences confirment le pouvoir guérisseur de la tendresse. [Présentation de l’éditeur, © ADAV]

Cet ensemble de 4 films permet de découvrir l’'approche Carpe Diem, sa philosophie et son application au quotidien auprès des personnes vivant avec la maladie d’Alzheimer et de leurs proches. L'approche Carpe Diem est basée sur la personne, qui n'est pas réduite à sa maladie. C'est l'institution qui s'adapte au malade et non l'inverse. Nous suivons le personnel et les personnes accueillies au quotidien dans cette résidence où se pratique un accueil singulier basé sur une approche humaniste.

Ce DVD est composé de 12 films documentaires de 11 à 18’ présentant des structures locales ayant mené des initiatives pour accompagner, dans leur vieillissement, des personnes en situation de handicap (physique, sensoriel, mental, psychique). Sont abordés les problématiques du vieillissement, de la dépendance, de l'autonomie et de la retraite. Chacun des dispositifs est présenté par les professionnels. 5 thèmes sont privilégiés :
- La relation à la famille (2 films) : "Proche des familles" et "Avec mon père en EHPAD."
- La relation au travail (2 films) : "La retraite en douceur" et "Dans la continuité du foyer de vie".
- La relation au lieu de vie : En habitat autonome (3 films). "Vieillir chez soi", "Une autonomie accompagnée", "Des habitats au cas par cas".
- La relation au lieu de vie : En habitat collectif (3 films). "Vivre un accueil conjoint", "Une cohabitation structurée", "Un lieu de vie et d'échanges".
- La relation au soin (2 films) : "Adapter les soins à deux publics", "Au delà du soin". En introduction, un film d’entretiens, qui explore le contexte politique et médico-social d’un défi majeur de notre société :
- "Etre handicapé et vieillir, regards croisés" (film de 14 min.).

Résumé Esther, une femme âgée de confession juive, a besoin d'une assistance permanente à domicile. Mais elle use ses gardes-malades et la dernière en date vient de démissionner. Elie, le fils d'Esther, ne sait plus quoi faire. Sélima, l'infirmière de jour, propose les services de sa mère, Halima, musulmane pratiquante. Contre toute attente, une vraie complicité se crée entre les deux femmes. Halima sait se faire apprécier et respecter. Pleine d'énergie, elle redonne à Esther le goût de vivre.[présentation de l’éditeur, © ADAV]
En complément :
"Ariane et Zohra font du cinéma" (30'), "Ariane and Zohra in Washington" (15'), bandes-annonces.

Ce film documentaire décrit le travail réalisé par le psychologue Sylvain Siboni et son équipe au Forum Jean Vignalou (hôpital Charles Foy d'ivry sur Seine). Celui-ci témoigne de sa pratique professionnelle dans un centre de jour.Dans la première partie du film, intitulée "Comprendre", Siboni donne son avis de psychologue sur le vieillissement, la santé, le besoin d'amour. Il s'interroge sur l'arrivée de la maladie. Il aborde ensuite les troubles de la mémoire qu'accompagne des troubles de l'orientation ainsi que des troubles psychiatriques. Selon lui Alzheimer est une maladie de la communication.Dans la seconde partie du film, "Accompagner", nous découvrons les ateliers du Forum : communication corporelle, arts plastiques, communication verbale, vie quotidienne, esthétique, cuisine, danse, poésie. C'est à une thérapie par l'amour, la reconnaissance et le vivre ensemble que nous invite le travail de ces accompagnants.

Se confronter avec la mort est devenu une expérience peu familière. On meurt bien plus souvent entouré par des soignants que par ses proches. Les funérailles se déroulent à la sauvette, l'expression du chagrin s'avère indécente. Ne s'agit-il pas de tisser d'autres liens avec la réalité de la mort : accepter de la côtoyer d'abord ; réinventer la possibilité de vivre le deuil et d'oser le partager ? Le temps de mourir n'est-il pas, plus que tout autre, celui de se parler pour de bon, de se séparer sans occulter le tragique de l'existence ? (Source : 4ème de couverture)