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PRISME travaille à la réalisation de deux bases de données bibliographiques : La première, Sciences et Action Sociales, constitue la base mutualisée du réseau. La deuxième, Thesis, est dédiée à la sélection et à l'indexation de thèses en travail social. Elle est le fruit d'un partenariat avec le CNAM-CDFT.

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Ceux qui disent oui

Film de Marie FERRIER, Sylvie TEXIER, 2016.

Mots clés : Immigration-Interculturalité, Accompagnement, Accueil, Action sociale, Administration, Aide sociale, Association, Bénévolat, Centre d'accueil pour demandeurs d'asile, Droit d'asile, Immigré, Intégration, Militantisme, Motivation, Relation d'aide, Solidarité, Souffrance psychique

Suite à la création d’un Centre d’Accueil de Demandeurs d’Asile dans une petite commune rurale du Limousin, un élan de solidarités a vu le jour. Bénévoles et militants se sont mobilisés pour faire face à des situations humaines complexes, parfois dramatiques. Les suivre au fil des mois, dans leurs engagements, leurs convictions, leurs doutes et leur enthousiasme est l’occasion unique de révéler les enjeux d’une expérience solidaire en terre d’asile. (Source : 4ème de couverture)

Le Gone du Chaâba

Film de Christophe RUGGIA, 1997.

Mots clés : Immigration-Interculturalité, Immigration, Immigré, Pauvreté, Logement, École, Intégration

Omar, le plus jeune enfant d'une famille algérienne venue d'El Ouricia avec d'autres habitants du même village, habite un bidonville de la banlieue lyonnaise, le chaâba. Encouragé par son père, passionné de livres, il réussit en classe et plus tard dans la vie. À travers quelques scènes (vie de l'école, jeux des enfants, prostituées des abords), la condition de la première génération issue de l'immigration est évoquée. Le rôle positif du père d'Omar, analphabète, travailleur, obstiné, s'oppose à la cupidité et à la brutalité de Saïd, le père de son cousin Hacène. La police, au cours d'une descente, trouve la boucherie clandestine de Saïd. C'est le début d'un exode de la population du bidonville, qui va, soit retourner au pays, soit se retrouver dans les grands immeubles devenus les banlieues, d'où, grâce à sa tenacité, Omar pourra s'intégrer dans la société française. Chronique d'une enfance algérienne dans les bidonvilles lyonnais du début des années 60. Un premier long métrage que l'on recommande chaleureusement. Juste et terriblement touchant...D'après le roman éponyme d'Azouz Begag, sociologue au CNRS et ministre d'état (gouvernement Villepin).

Compléments : Bande-son avec les commentaires de Azouz Begag et Christophe Ruggia, filmographies, extrait de film.