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PRISME travaille à la réalisation de deux bases de données bibliographiques : La première, Sciences et Action Sociales, constitue la base mutualisée du réseau. La deuxième, Thesis, est dédiée à la sélection et à l'indexation de thèses en travail social. Elle est le fruit d'un partenariat avec le CNAM-CDFT.

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Violence conjugale : comment s'en sortir ?

Film de Laëtitia MOREAU, 2010.

Mots clés : Violence conjugale, Femme, Homme, Témoignage, Association, Accompagnement, Entretien, Accueil, Hébergement, Loi, Divorce, Enfant, Soin, Assistant de service social, Soutien psychologique, Éducateur spécialisé

La réalisatrice a suivi pendant 3 mois au sein de l’association SOS Femmes à Marseille, des femmes qui ont subi des violences conjugales graves, parfois pendant de nombreuses années. Elles décrivent les violences subies, l’'emprise dans laquelle elles se sont retrouvées, et la honte d’avoir été maltraitées. L'association propose un service d'accueil téléphonique, des entretiens individuels, l'aide et le soutien psychologique ainsi qu'un service d'hébergement sous forme d'appartements protégés. Le film suit également un couple dont le mari a été placé par le tribunal correctionnel dans un foyer spécialisé pour un soin psychologique puis condamné suite à la plainte déposée par son épouse.

Coeur de femmes : de la rue à la vie

Film de Véronique BONNET-NORA, 2007.

Mots clés : Lien social-Précarité, Femme, Réinsertion professionnelle, Réinsertion sociale, Association, Accueil, Écoute, Autonomie, Exclusion sociale, Afrique

De plus en plus de femmes sont exclues de la société, et ont les plus grandes difficultés à se réinsérer. Dans les années 90, sur Paris, une femme a choisi de venir en aide aux femmes en très grande exclusion sociale. Mona Chasserio fondait l'association "Coeur de femmes" et inventait une forme d'accueil inédite. "Coeur de femmes" offre un toit, un couvert, mais surtout une écoute aux femmes qui ont souvent connu la toxicomanie, la prostitution, la violence et les ruptures familiales et viennent fréquemment de la rue, de l'hôpital ou de la prison. Chacune des femmes accueillies collabore à la vie de la maison, y trouve un suivi psychologique, social, médical et juridique, et participe à des ateliers tels que cours de français, chant, sport, théâtre. Après leur séjour dans la maison, dès lors qu'elles ont (re)trouvées un emploi, elles restent plusieur mois dans une péniche. Cet accompagnement est un moyen pour chaque femme de prendre de la distance avec la rue, la galère. A travers ce documentaire, nous suivons également les nouveaux projets de l'association, le parrainage de la chanteuse France Gall, la création d'une maison en Bretagne et d'une autre en Afrique.