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PRISME travaille à la réalisation de deux bases de données bibliographiques : La première, Sciences et Action Sociales, constitue la base mutualisée du réseau. La deuxième, Thesis, est dédiée à la sélection et à l'indexation de thèses en travail social. Elle est le fruit d'un partenariat avec le CNAM-CDFT.

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La cour de Babel

Film de Julie BERTUCCELLI, 2014.

Mots clés : Jeunesse-Adolescence, Immigration-Interculturalité, Étranger, École, Accueil, Langue vivante, Apprentissage, Échange, Religion, Parents, Migration, Adolescent

Ils sont Anglais, Sénégalais, Brésilien, Marocain, Chinois... Ils ont entre 11 et 15 ans, ils viennent d'’arriver en France. Le temps d'une année, ils cohabitent dans la classe d'accueil d'un collège parisien. 24 élèves, 24 nationalités... Dans ce petit théâtre du monde s'’expriment l’'innocence, l’'énergie et les contradictions de ces adolescents qui, animés par le même désir de changer de vie et de vivre ensemble, livrent une partie d'eux-mêmes et de leur vie. Ils devront aborder notamment la question des différences et des ressemblances en réalisant un court-métrage.

Le Gone du Chaâba

Film de Christophe RUGGIA, 1997.

Mots clés : Immigration-Interculturalité, Immigration, Immigré, Pauvreté, Logement, École, Intégration

Omar, le plus jeune enfant d'une famille algérienne venue d'El Ouricia avec d'autres habitants du même village, habite un bidonville de la banlieue lyonnaise, le chaâba. Encouragé par son père, passionné de livres, il réussit en classe et plus tard dans la vie. À travers quelques scènes (vie de l'école, jeux des enfants, prostituées des abords), la condition de la première génération issue de l'immigration est évoquée. Le rôle positif du père d'Omar, analphabète, travailleur, obstiné, s'oppose à la cupidité et à la brutalité de Saïd, le père de son cousin Hacène. La police, au cours d'une descente, trouve la boucherie clandestine de Saïd. C'est le début d'un exode de la population du bidonville, qui va, soit retourner au pays, soit se retrouver dans les grands immeubles devenus les banlieues, d'où, grâce à sa tenacité, Omar pourra s'intégrer dans la société française. Chronique d'une enfance algérienne dans les bidonvilles lyonnais du début des années 60. Un premier long métrage que l'on recommande chaleureusement. Juste et terriblement touchant...D'après le roman éponyme d'Azouz Begag, sociologue au CNRS et ministre d'état (gouvernement Villepin).

Compléments : Bande-son avec les commentaires de Azouz Begag et Christophe Ruggia, filmographies, extrait de film.