Film de Michèle Dal Molin, Bernard Dal Molin, 2011.
Mots clés : Santé-Santé publique, Deuil, Enfant, Accompagnement, Famille, Maladie, Mort, Relation familiale, Relation soignant-soigné, Soins palliatifs
Le décès d’un enfant des suites d’une maladie grave reste un événement rare mais non exceptionnel, certaines familles y sont parfois confrontées. Pour tenter de briser leur isolement, pour rompre les tabous, quatre familles, en lien avec les équipes soignantes qui les ont accompagnées, ont accepté avec générosité, de nous confier leurs vécus. Parmi les questions délicates qui sont abordées, celle du choix du lieu de fin de vie doit être posée : domicile ou hôpital ? Pour que ce choix soit possible, parmi les nombreux facteurs médicaux, sociaux et familiaux qui doivent être réunis, ceux de la confiance réciproque et de la continuité dans la prise en charge sont essentiels. Plus largement, au travers de ces quatre parcours de vie, c’est bien d’accompagnement dont nous parle ce film. (Description éditeur)
Advita productions
Film de Nanni Moretti, 2001.
Mots clés : Santé-Santé publique, Deuil, Mort, Famille, Relation enfant-parents, Relation familiale, Relation soignant-soigné, Relation enfant-père, Italie
Ancône, un petit port au nord de l'Italie. Giovanni et Paola vivent en harmonie avec leurs deux enfants en pleine adolescence : Irène, l'aînée et Andréa, le cadet. Giovanni est psychanaliste, il mène une vie équilibrée entre sa famille, ses patients et son jogging quotidien. Un dimanche, à la place d'aller courir avec son fils, il doit se rendre d'urgence chez l'un de ses patients. Andréa part à la plongée sous-marine, il ne reviendra pas. [Présentation de l’éditeur, © ADAV]
Film de Odile Chopard, Robert Albert, 1993.
Mots clés : Deuil, Mort, Personne âgée, Représentation sociale, Soin, Transmission, Vieillissement, Rite, Sociologie, Accompagnement de fin de vie
Se confronter avec la mort est devenu une expérience peu familière. On meurt bien plus souvent entouré par des soignants que par ses proches. Les funérailles se déroulent à la sauvette, l'expression du chagrin s'avère indécente. Ne s'agit-il pas de tisser d'autres liens avec la réalité de la mort : accepter de la côtoyer d'abord ; réinventer la possibilité de vivre le deuil et d'oser le partager ? Le temps de mourir n'est-il pas, plus que tout autre, celui de se parler pour de bon, de se séparer sans occulter le tragique de l'existence ? (Source : 4ème de couverture)