Film de Frédéric CHAUDIER, 2011.
Mots clés : Accompagnement de la personne et identité, Grand âge-Vieillissement, Personne âgée, Mort, Fin de vie, Famille, Art, Thérapie, Euthanasie, Accompagnement de fin de vie, Soins palliatifs, Travail d'équipe, Hygiène, Relation soignant-soigné
En s'inscrivant dans la période particulière de la fin de l'existence, le réalisateur Frédéric Chaudier regarde, écoute, accompagne les patients, les bénévoles, les équipes soignantes de l'unité de soins palliatifs de la maison médicalisée Jeanne Garnier, à l'heure où ces voyageurs particuliers qui séjournent dans l'établissement, sont appelés à s'éloigner. Il montre le quotidien des soignants et des soignés, pose des questions. Qu'est-ce qui fait qu'on tient ? Peut-on mettre fin à la vie ?
1 DVD, films en compléments : Bénévolat : présence de la société civile dans les lieux de soins (19 min), Réflexion croisée entre le docteur Régis Aubry et le député Jean Léonetti (14 min), Micro-troittoirs de sortie salle (3 min), Entretien avec Frédéric Chaudier (22 min), La bande-annonce.
Les yeux ouverts
Film de Jean Pierre Ameris, 2001.
Mots clés : Santé-Santé publique, Mort, Soins palliatifs, Accompagnement de fin de vie
Le scénario du film C'est la vie, interprêté par Jacques Dutronc et Sandrine Bonnaire a été écrit d'après le livre de la psychologue Marie Hennezel La mort intime. Synopsis : Dimitri, atteint d'une maladie incurable se rend dans un centre qui accueille des malades en phase terminale de vie. Cynique et révolté face à cette concentration des futurs condamnés à mort, il s'enfuit. Il y revient et s'attache peu à peu à Suzanne, une bénévole qui accompagne les pensionnaires dans leurs derniers jours. Ce n'est pas un film sur la mort, mais sur cette tranche de vie qui est la fin de vie (Jean-Pierre Améris). [Résumé éditeur]
Film de Odile Chopard, Robert Albert, 1993.
Mots clés : Deuil, Mort, Personne âgée, Représentation sociale, Soin, Transmission, Vieillissement, Rite, Sociologie, Accompagnement de fin de vie
Se confronter avec la mort est devenu une expérience peu familière. On meurt bien plus souvent entouré par des soignants que par ses proches. Les funérailles se déroulent à la sauvette, l'expression du chagrin s'avère indécente. Ne s'agit-il pas de tisser d'autres liens avec la réalité de la mort : accepter de la côtoyer d'abord ; réinventer la possibilité de vivre le deuil et d'oser le partager ? Le temps de mourir n'est-il pas, plus que tout autre, celui de se parler pour de bon, de se séparer sans occulter le tragique de l'existence ? (Source : 4ème de couverture)