PRISME travaille à la réalisation de deux bases de données bibliographiques : La première, Sciences et Action Sociales, constitue la base mutualisée du réseau. La deuxième, Thesis, est dédiée à la sélection et à l'indexation de thèses en travail social. Elle est le fruit d'un partenariat avec le CNAM-CDFT.
Dans son hôpital de Brest, une pneumologue découvre un lien direct entre des morts suspectes et la prise d'un médicament commercialisé depuis trente ans, le Mediator. De lisolement des débuts à lexplosion médiatique de laffaire, lhistoire inspirée de la vie dIrène Frachon est une bataille de David contre Goliath pour voir enfin triompher la vérité ! (Présentation du producteur)
Mots clés : Accompagnement de la personne et identité, Handicap-Situations de handicap, Maladie, Hôpital, Récit de vie, Écrit, Biographie, Dyslexie, Orthophonie, Orthophoniste, Rééducation, Langage, Équipe soignante, Famille, Parents
À travers la rencontre de Béatrice Sauvageot, orthophoniste révolutionnaire, et Valéria Milewski, biographe hospitalier pour personnes gravement malades, le film raconte combien les mots sont les compagnons indispensables de nos existences. Ces mots qu'il nous faut dompter quand leur lecture et leur écriture sont une souffrance. Ces mots qu'il nous faut retrouver au coeur de notre mémoire quand le temps est venu de transmettre notre histoire. Le film montre leur travail respectif en milieu hospitalier pour l'une et auprès d'enfants dyslexiques pour l'autre. (Description éditeur)
Mots clés : Santé-Santé publique, Fin de vie, Maladie, Accompagnement, Euthanasie, Suicide, Suisse
David Miller veut en finir avec sa vie. Ce vieil architecte malade met toutes les chances de son côté en ayant recours à une association d'aide au suicide. Mais Espe, l'accompagnatrice, ne semble pas très au fait de la procédure, alors que David Miller tente par tous les moyens de convaincre Tréplev, le prostitué russe de la chambre d'à côté, d'être le témoin de son dernier souffle, comme la loi l'exige en Suisse. Le temps d'une nuit, tous trois vont découvrir que le goût des autres et peut-être même l'amour sont des sentiments drôlement tenaces. En complément : Entretien avec le réalisateur (30'), sur le tournage de "La vanité", "Emile de 1 à 5" (2012, 5') de Lionel Baier. (Source : 4ème de couverture)
Mots clés : Grand âge-Vieillissement, Maladie, Personne âgée, Relation enfant-père, Vieillissement, Voyage
À quatre-vingts ans, Claude Lherminier n'a rien perdu de sa prestance. Mais il lui arrive de plus en plus souvent d'avoir des oublis, des accès de confusion. Un état qu'il se refuse obstinément à admettre. Carole, sa fille aînée, mène un combat de tous les instants pour qu'il ne soit pas livré à lui-même. Sur un coup de tête, Claude décide de s'envoler pour la Floride. Qu'y a-t-il derrière ce voyage si soudain ? (Source : 4ème de couverture)
Le décès d’un enfant des suites d’une maladie grave reste un événement rare mais non exceptionnel, certaines familles y sont parfois confrontées. Pour tenter de briser leur isolement, pour rompre les tabous, quatre familles, en lien avec les équipes soignantes qui les ont accompagnées, ont accepté avec générosité, de nous confier leurs vécus. Parmi les questions délicates qui sont abordées, celle du choix du lieu de fin de vie doit être posée : domicile ou hôpital ? Pour que ce choix soit possible, parmi les nombreux facteurs médicaux, sociaux et familiaux qui doivent être réunis, ceux de la confiance réciproque et de la continuité dans la prise en charge sont essentiels. Plus largement, au travers de ces quatre parcours de vie, c’est bien d’accompagnement dont nous parle ce film. (Description éditeur)
Mots clés : Santé-Santé publique, Maladie, Psychothérapeute, Psychothérapie, Accompagnement de fin de vie
Jean est bon vivant, la cinquantaine, médecin. Cest à un collègue et ami quil a confié le soin de soigner des migraines pour lesquelles il a passé de nombreux examens. Il vient prendre connaissance des résultats et apprend quil est atteint dune tumeur cérébrale cancéreuse, inaccessible chirurgicalement et donc fatale à court-terme.Tout bascule pour Jean. Plus rien na le même sens, son regard sur ce qui lentoure, ses relations avec les siens sont radicalement modifiées. Submergé par cette épreuve, Jean est incapable de lannoncer à sa fille, son gendre et son petit-fils. Il décide alors de consulter David Servan Schreiber. Relatant ses nombreux entretiens avec le psychiatre, seul ou accompagné de ses proches, cette fiction met en lumière le travail de psychothérapie et son rôle déterminant pour mieux appréhender une épreuve douloureuse.
Mots clés : Aidant familial, Maladie, Fatigue, Handicap, Maladie génétique, Maladie d'Alzheimer, Dépendance, Famille, Groupe de parole, Relation d'aide, Relation enfant-parents, Vie quotidienne, FRANCE, QUEBEC
Une mère soigne quotidiennement son fils handicapé physique. Sabine, atteinte dune maladie génétique rare, essaye de trouver un moyen de vivre sans être dépendante de ses parents. Josepha cherche léquilibre juste pour vivre en harmonie avec Jean, son époux, atteint dAlzheimer. Ces histoires, et dautres encore, nous racontent la vie de femmes et d'hommes, épouses ou époux, parents ou enfants, confrontés à lintrusion de la maladie, du handicap, de la dépendance dans leur quotidien. Le film parle des aidants-familiaux en France et de solutions de répits qui pourraient leur être proposé. Des services de soins sont à leur écoute, des associations et des groupes de paroles se créent. Mais c'est au Canada, notamment à Montréal, que des structures existent : les Centres Locaux de Services Communautaires. C'est aussi là-bas qu'est pratiqué le "baluchonnage" pour le soutien aux parents de personnes atteints d'Alzheimer.
Ce film montre comment le jeu et certains outils à la disposition des équipes soignantes, dont la poupée oncologique et la marionnette chirurgicale, sont de formidables supports d'explication, d'information et de préparation qui permettent d'impliquer l'enfant dans le soin. (source : 4ème de couverture)
Reproduit en 2005 sous le titre "Informer par le jeu à l'hôpital". Béatrice Minguet.
Depuis quelques années en France, les médecins se préoccupent de la douleur, et les colloques se multiplient sur ce sujet, longtemps dédaigné. Les attitudes, les mentalités changent, mais il y a plusieurs types de douleurs et certaines résistent à tous les traitements. C'est la réalité humaine, psychologique, de la douleur que le film de Caroline Philibert entend montrer : d'une part cette souffrance innommable du patient, d'autre part les peurs et le déni qu'elle provoque dans l'entourage, qu'il soit familial, médical ou professionnel. (Présentation éditeur)