Cet ensemble de 4 films permet de découvrir l’'approche Carpe Diem, sa philosophie et son application au quotidien auprès des personnes vivant avec la maladie d’Alzheimer et de leurs proches. L'approche Carpe Diem est basée sur la personne, qui n'est pas réduite à sa maladie. C'est l'institution qui s'adapte au malade et non l'inverse. Nous suivons le personnel et les personnes accueillies au quotidien dans cette résidence où se pratique un accueil singulier basé sur une approche humaniste.

Ce DVD est composé de 12 films documentaires de 11 à 18’ présentant des structures locales ayant mené des initiatives pour accompagner, dans leur vieillissement, des personnes en situation de handicap (physique, sensoriel, mental, psychique). Sont abordés les problématiques du vieillissement, de la dépendance, de l'autonomie et de la retraite. Chacun des dispositifs est présenté par les professionnels. 5 thèmes sont privilégiés :
- La relation à la famille (2 films) : "Proche des familles" et "Avec mon père en EHPAD."
- La relation au travail (2 films) : "La retraite en douceur" et "Dans la continuité du foyer de vie".
- La relation au lieu de vie : En habitat autonome (3 films). "Vieillir chez soi", "Une autonomie accompagnée", "Des habitats au cas par cas".
- La relation au lieu de vie : En habitat collectif (3 films). "Vivre un accueil conjoint", "Une cohabitation structurée", "Un lieu de vie et d'échanges".
- La relation au soin (2 films) : "Adapter les soins à deux publics", "Au delà du soin". En introduction, un film d’entretiens, qui explore le contexte politique et médico-social d’un défi majeur de notre société :
- "Etre handicapé et vieillir, regards croisés" (film de 14 min.).

Ce film retrace le parcours de 3 jeunes errants accompagnés de leurs chiens. Ces jeunes ont deux points communs : ils ont connu la rue et sont propriétaires de chiens. Ils sont ceux que l'on appelle parfois des "punks à chiens" et vivent l'un à Paris, les deux autres à Nantes. Aujourd'hui, fatigués de la rue, de sa violence et de ses aléas, ils ont entamé chacun un parcours de réinsertion sociale au sein de deux associations qui prennent en compte la relation très forte qui les unit à leurs animaux. Le film raconte l'histoire de ces trois jeunes et la façon dont leurs chiens peuvent les aider à s'en sortir.

La réalisatrice a suivi pendant 3 mois au sein de l’association SOS Femmes à Marseille, des femmes qui ont subi des violences conjugales graves, parfois pendant de nombreuses années. Elles décrivent les violences subies, l’'emprise dans laquelle elles se sont retrouvées, et la honte d’avoir été maltraitées. L'association propose un service d'accueil téléphonique, des entretiens individuels, l'aide et le soutien psychologique ainsi qu'un service d'hébergement sous forme d'appartements protégés. Le film suit également un couple dont le mari a été placé par le tribunal correctionnel dans un foyer spécialisé pour un soin psychologique puis condamné suite à la plainte déposée par son épouse.

Une chronique en deux volets qui nous entraîne au coeur du service social départemental de Créteil à la découverte d'une équipe d'assistants sociaux en prise avec les réalités du terrain et ses limites. Quatre professionnels sont suivis dans leurs pratiques quotidiennes : entretiens, réunions d'équipes, visite à domicile. Au rythme des situations auxquelles ils sont confrontés (demande d'hébergement d'urgence, aide alimentaire, lutte contre l'exclusion, tutelle ASE), pour aider et accompagner les populations fragilisées, le film pose son regard sur la dimension humaine et engagée de cette profession. [Présentation de l’éditeur, © ADAV]

Une chronique en deux volets qui nous entraîne au coeur du service social départemental de Créteil à la découverte d'une équipe d'assistants sociaux en prise avec les réalités du terrain et ses limites. Quatre professionnels sont suivis dans leurs pratiques quotidiennes : entretiens, réunions d'équipes, visite à domicile. Au rythme des situations auxquelles ils sont confrontés (demande d'hébergement d'urgence, aide alimentaire, lutte contre l'exclusion, tutelle ASE), pour aider et accompagner les populations fragilisées, le film pose son regard sur la dimension humaine et engagée de cette profession. [Présentation de l’éditeur, © ADAV]

Au moment du tournage, Patrick Toregrossa est un éducateur à la veille de la retraite. A travers le portrait et l'itinéraire de cet éducateur spécialisé de la première heure, c'est l'Histoire du travail social que nous revisitons. Il revient sur ses premières expériences (psychiatrie, maison de correction,etc.) et explique le choix de ce métier. Au-delà des souvenirs, le film aborde le quotidien de l'éducateur et de son équipe travaillant à la prise en charge de jeunes en difficulté ; des jeunes dont nous croisons les parcours. Patrick Toregrossa s'est illustré dans l'AEMO et a été novateur dans l'hébergement des jeunes avec le programme "chambres en ville", favorisant ainsi l'autonomie des jeunes et leur insertion socio-professionnelle. A travers ce portrait d'un militant c'est bien sûr la définition d'un métier qui est esquissée mais aussi la question de la relation éducative.

Ce documentaire est composé de portraits de trois jeunes mères adolescentes. Sylvana Guadeloupe), Marion (Nord) et Esther (région parisienne) ont toutes trois eut un enfant à l'adolescence. Le film rend compte des difficultés auxquelles ces jeunes mères mineures peuvent être confrontés ainsi que les aides qu'elles reçoivent dans des centres et foyers d'éducation maternelle et des centres jeunes-adultes. Nous les suivons en situation d'entretien avec des éducateurs. En complément, un entretien avec le pédiatre Maurice Titran, suivi de quatre séquences de vie : Visite chez la puéricultrice, Entretien à la PMI, Entretien au foyer jeunes-majeurs, Esther entre achats et confidences.