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PRISME travaille à la réalisation de deux bases de données bibliographiques : La première, Sciences et Action Sociales, constitue la base mutualisée du réseau. La deuxième, Thesis, est dédiée à la sélection et à l'indexation de thèses en travail social. Elle est le fruit d'un partenariat avec le CNAM-CDFT.

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Les enfants d'ERASMUS : l'Europe pour tous ?

Film de Andreas Apostolidis, Angeliki Aristomenopoulou, 2019.

Mots clés : Jeunesse-Adolescence, Ecole-Enseignement, Enseignement supérieur, Jeune, Université, Voyage, Stage, Travail, Emploi, Mobilité professionnelle, Méthode pédagogique, Coopération, Mixité sociale, Interculturel, Service civique volontaire, Réfugié, Expérience, Identité culturelle, Europe, France, Irlande, Finlande, Pologne, Espagne, Grèce, Lituanie

"Les enfants d’Erasmus" suit sur une période de deux à douze mois le périple de cinq jeunes qui quittent leur ville d’origine pour la première fois pour participer au programme de mobilité Erasmus+. Ils vont ainsi mettre à l’épreuve leurs idées, leur identité et leurs valeurs au contact d’une réalité différente dans un autre pays européen. Le documentaire part également à la rencontre de la première génération de diplômés Erasmus (1987-1997) qui expliquent en quoi cette expérience a changé durablement leur vie. Le contraste entre les deux générations permet de comprendre le processus et les difficultés que représente le fait de "devenir plus européen". Différents spécialistes européens analysent les enjeux.
[présentation de l’éditeur, © ADAV]

Héros sans visage

Film de Mary Jimenez, 2011.

Mots clés : Immigration-Interculturalité, Immigré, Réfugié, Immigration, Grève, Témoignage, Mort, Danger, Violence, Droit d'asile, France, Afrique

Conçu en triptyque, Héros sans visage explore le destin de migrants à partir de trois situations différentes : une grève de la faim en Belgique qui permet à un groupe de sans-papiers d'obtenir des régularisations ; un camp de transit tunisien où affluent des milliers de travailleurs fuyant le chaos libyen, enfin, le récit dramatique d’un rescapé qui a franchi Gibraltar à la nage. Chacun des trois volets aborde une facette de la tragédie des migrants au moyen d’un langage cinématographique propre. Mary Jimenez porte d’abord un regard de photographe sur la lutte de sans-papiers réfugiés dans une église voisine, scrutant les visages douloureux de ces hommes prêts à mourir pour obtenir le droit de vivre dignement. En Tunisie, le film adopte la forme d’un reportage nourri de nombreuses interviews de migrants bangladais et africains. Ils racontent leur expérience de travailleurs durement exploités en Libye et l’impasse que représente le camp de transit. Certains envisagent, malgré les dettes et la honte, de rentrer au pays ; la plupart n’ont d’autre choix que de poursuivre leur périple à très haut risque. La dernière partie intitulée La Chambre à air fait appel au langage de l’art vidéo pour transmettre le témoignage d’un miraculé qui a échappé à la noyade grâce à l’aide providentielle d’un troupeau de dauphins. (Eva Ségal) (Description éditeur).

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